*refait le topic* XD désolée désolée <D
Pour un rapide résumé thématique c'est une fic centré sur des vampires, le yaoi bien que courant n'est pas roi incontestable ici, il y a aussi des couples hétéro (dont je parle tardivement mais je vais en parler roooh xD...).
Voilà pour la plupart des Warning <.< un peu de violence (si peu XD)
Chapitre 1 : Kodou
Part I
Je m'apelle Die. Je ne suis pas particulièrement grand, j'ai les cheveux longs teints en rouges, la peau pâle pour le japonais que je suis. Le corps masculin qui m'héberge est fin et androgyne, les doigts fins, des lèvres de femme trop pulpeuses pour un homme, les yeux bleu clair souligné de crayon noir. J'ai du mal à être objectif devant un miroir, de ce fait je ne peux pas dire que je met du crayon pour me rendre plus beau vu mon incapacité de trancher. Juste pour creuser encore le fossé qui me sépare des autres mortels. Car je suis un non vivant, comme l'indique très ironiquement le nouveau que mon "maître" m'a donné. Seul dans cette chambre d'hôtel étroite et glauque je ressasse ce qui m'est arrivé. Assis sur mon lit, les coudes appuyant sur mes genoux et mon visage partielement tenu par mes mains je fouilles mes souvenirs. Toutes ces choses que j'ai appris de lui en l'espace de trois nuits seulement. Trois nuits pour m'apprendre puis il est parti. La décision de le rejoindre où non m'appartient. Tout comme celle de continuer à vivre ou non. Car je serait immanquablement tué si je reste tout seul. Vivre. Tué.
Je fais pivoter mes poignets devant mes yeux pour réveler les lignes blanches qui m'ont fait passer de vie à, ma foi, demi-vie. Des petites entailles obliques. Une grimace passe comme une ombre sur mon visage en repenssant à ses longues minutes de souffrance. Je n'avais pas coupé profond, et perpendiculairement à la veine. C'était douleureux et le sang prenait du temps à sécouler. Je n'arrivais plus à rien saisir et c'est avec difficulté que j'ai avalé une dizaine de somnifères. Pour dormir en attendant que mon corps se vide.
J'ai rouvert les yeux une fois sur le plafond blanc d'un hôpital, puis mes yeux sont restés ouverts et je n'ai plus rien vu. Le noir.
Une nouvelle fois quand je sentit deux nouvelles perfusions dans mon cou. Les cables qui me retenaient en vie en traversant mes bras étaient déjà assez insuportables, qu'allait on encore me faire? Ma peau me brûlait autour des égratignures et je pu sentir une certaine humidité. Des lèvres pressées contre mon cou, une langue qui léchait avidement l'espace entre les deux blessures. Une seule pensée m'était venue en sentant ces dents labourer mon corps pour en retirer le plus de sang, j'aurais la mort que je voulais, et pas une mort minable, retenu à la vie par des machines. Plus mon sang coulait et plus mes sens s'amoindrissaient. Je n'avais même pas cherché à ouvrir les yeux.
Je n'eus pas la force de grimacer quand les crocs se retirèrent de moi et quand un dernier coup de langue nettoya la plaie. Une voix me parvint, si douce comme si le vent lui même avait voulu me parler.
" Tu te laisserais donc réelement mourrir."
Pas de réponse. Je ne ressentais plus rien. Enfin si, mon corps s'était subitement limité à mes ouvertures sur le monde, c'est à dire des entailles enroulées sous les compresses et le gaze, et les écorchures de mon cou qui m'élançaient à chaque battement d'un coeur qui s'essouflait. Bien sûr que je me laissai mourrir. La voix parla de nouveau.
" Ouvres les yeux. "
Je ne pouvais pas, c'était stupide. Je ne pouvais pas mais mon corps obéit. Un murmure suivit le réveil de mes iris bleu. Je ne voyais rien. Je senti un souffle vers mon oreille au creux de mon cou, caressant la peau humide de salive et de sang.
" Tu es en train de mourrir mon enfant. Tu es en train de mourrir mais demandes le moi et tu auras une vie meilleure. Une vie comme tu n'aurais jamais pu en avoir. "
Je ne répondit pas. Désolé mais ça ne fait pas parti de mes plans. Assez de ce monde de merde. Laisses moi partir toi aussi.
La froideur de ses ongles effleura mon visage, caressant ma joue et se perdant dans mes cheveux. Le drap fut écarté. Je me foutais de ce qu'on pouvait voir. Un pyjama blanc cachait mon corps devenu squelletique par des jours à être nourri par perfusion. Je senti sa caresse sur tout mon corps, il n'éffleurait que mes vêtement mais les plis frottaient doucement ma peau. Ce n'était pas désagréable. Je pensais que c'était mon adieu au monde.
Une inspiration difficile. La prochaine serait la dernière. La main revint alors dans mes cheveux et la voix contre ma peau.
" Pardonnes moi si je ne te laisses plus le choix. "
Surpris. J'avais oublié d'arrêter de respirer. Qu'allait il se passer? Je senti une tension dans l'air et une odeur âcre, j'entendais déglutir, comme si on buvait quelque chose. Des lèvres chaudes se posèrent sur les miennes tandis qu'un pouce appuyait sur mon menton, me manipulant comme une poupée pour me faire ouvrir la bouche. Et alors? J'étais mourrant. Je partais bientôt. Peu m'importais ce corps écrasé sur moi, peu importais ce qu'il allait faire à mon corps dès que je serai mort, je ne serai plus là. Les lèvres pivotèrent alors, dans cette position étrange, imbriquées comme un jeu de cubes. Una langue fouilla ma bouche rapidement, juste le temps de caresser doucement la mienne. Je sentis un soubressaut parcourir l'autre. Tiens la première fois que je le percevais comme une personne entière et pas comme une main et une voix qui se balade. C'était quelqu'un que j'avais au dessus de moi. Un autre soubressaut le secoua et malgrès ma faiblesse je voyais venir quelque chose d'immonde. Ce monde avait voulu m'adresser ses adieux avec son infecte sadicité dégoutante. Je sentis presque le liquide remonter dans la gorge de mon agresseur et envahir sa bouche, grande ouverte sur la mienne. Ca atteignit mes lèvres et je reconnu ce gout métallique. Du sang. Du sang chaud. Un reflexe humain me fit avaler quand ma gorge fut pleine et un autre soubressaut ébranlant le corps au dessus de moi m'indiqua un nouveau flux. C'était tout simplement immonde. Chaque gorgée réveillait mon corps, fesant souffrir le moindre de mes nerfs, et qaund j'eus bu assez pour avoir recouvré un minimum de force des larmes se mirent à couler frénétiquement de mes yeux. On m'avait encore ramené. Je remuais faiblement pour tenter de repousser cette personne. Lorsqu'elle s'en aperçu elle s'écarta et ravala le sang qu'elle allait me donner. Elle m'arracha mes perfusions brutalement, apportant encore plus de douleur à mon corps éprouvé, puis elle me prit dans ses bras et m'emmena. Je su qu'elle avait ouvert la fenêtre en sentant l'air froid de la nuit sur ma peau fiévreuse. Je sentis le basculement de son corps avant qu'elle ne tombe en m'enlaçant étroitement contre elle. Mon esprit retourna dans le noir avant que nous ayons touché le sol.
Et quand je me suis réveillé j'étais sur ce lit. Celui où je suis assis en ce moment. J'avais doucement ouvert les yeux sur un homme de grande taille, élancé, les cheveux courts ébourrifé, les yeux rouges sang et quelques signes noirs et crochus sous les yeux. Il se pencha sur moi avec un sourire pour me caresser le visage. Tout mon corps me fesait atrocement mal. Il entre ouvrit ses lèvres et parla comme il m'avait parlé plus tôt dans la nuit.
" Il faut finir maintenant... "
Il caressait tendrement mes cheveux rouges éparpillés sur l'édredon. Seigneur que j'avais mal. Et tout doucement la voix continuait.
" Tu es en train de mourrir. "
*fait des parts toutes ptites XD*
comme ça c'est pasl ong à lire et je saurais si ça vaut la peine de mettre la suite *__*" à vous de juger
Pour un rapide résumé thématique c'est une fic centré sur des vampires, le yaoi bien que courant n'est pas roi incontestable ici, il y a aussi des couples hétéro (dont je parle tardivement mais je vais en parler roooh xD...).
Voilà pour la plupart des Warning <.< un peu de violence (si peu XD)
Chapitre 1 : Kodou
Part I
Je m'apelle Die. Je ne suis pas particulièrement grand, j'ai les cheveux longs teints en rouges, la peau pâle pour le japonais que je suis. Le corps masculin qui m'héberge est fin et androgyne, les doigts fins, des lèvres de femme trop pulpeuses pour un homme, les yeux bleu clair souligné de crayon noir. J'ai du mal à être objectif devant un miroir, de ce fait je ne peux pas dire que je met du crayon pour me rendre plus beau vu mon incapacité de trancher. Juste pour creuser encore le fossé qui me sépare des autres mortels. Car je suis un non vivant, comme l'indique très ironiquement le nouveau que mon "maître" m'a donné. Seul dans cette chambre d'hôtel étroite et glauque je ressasse ce qui m'est arrivé. Assis sur mon lit, les coudes appuyant sur mes genoux et mon visage partielement tenu par mes mains je fouilles mes souvenirs. Toutes ces choses que j'ai appris de lui en l'espace de trois nuits seulement. Trois nuits pour m'apprendre puis il est parti. La décision de le rejoindre où non m'appartient. Tout comme celle de continuer à vivre ou non. Car je serait immanquablement tué si je reste tout seul. Vivre. Tué.
Je fais pivoter mes poignets devant mes yeux pour réveler les lignes blanches qui m'ont fait passer de vie à, ma foi, demi-vie. Des petites entailles obliques. Une grimace passe comme une ombre sur mon visage en repenssant à ses longues minutes de souffrance. Je n'avais pas coupé profond, et perpendiculairement à la veine. C'était douleureux et le sang prenait du temps à sécouler. Je n'arrivais plus à rien saisir et c'est avec difficulté que j'ai avalé une dizaine de somnifères. Pour dormir en attendant que mon corps se vide.
J'ai rouvert les yeux une fois sur le plafond blanc d'un hôpital, puis mes yeux sont restés ouverts et je n'ai plus rien vu. Le noir.
Une nouvelle fois quand je sentit deux nouvelles perfusions dans mon cou. Les cables qui me retenaient en vie en traversant mes bras étaient déjà assez insuportables, qu'allait on encore me faire? Ma peau me brûlait autour des égratignures et je pu sentir une certaine humidité. Des lèvres pressées contre mon cou, une langue qui léchait avidement l'espace entre les deux blessures. Une seule pensée m'était venue en sentant ces dents labourer mon corps pour en retirer le plus de sang, j'aurais la mort que je voulais, et pas une mort minable, retenu à la vie par des machines. Plus mon sang coulait et plus mes sens s'amoindrissaient. Je n'avais même pas cherché à ouvrir les yeux.
Je n'eus pas la force de grimacer quand les crocs se retirèrent de moi et quand un dernier coup de langue nettoya la plaie. Une voix me parvint, si douce comme si le vent lui même avait voulu me parler.
" Tu te laisserais donc réelement mourrir."
Pas de réponse. Je ne ressentais plus rien. Enfin si, mon corps s'était subitement limité à mes ouvertures sur le monde, c'est à dire des entailles enroulées sous les compresses et le gaze, et les écorchures de mon cou qui m'élançaient à chaque battement d'un coeur qui s'essouflait. Bien sûr que je me laissai mourrir. La voix parla de nouveau.
" Ouvres les yeux. "
Je ne pouvais pas, c'était stupide. Je ne pouvais pas mais mon corps obéit. Un murmure suivit le réveil de mes iris bleu. Je ne voyais rien. Je senti un souffle vers mon oreille au creux de mon cou, caressant la peau humide de salive et de sang.
" Tu es en train de mourrir mon enfant. Tu es en train de mourrir mais demandes le moi et tu auras une vie meilleure. Une vie comme tu n'aurais jamais pu en avoir. "
Je ne répondit pas. Désolé mais ça ne fait pas parti de mes plans. Assez de ce monde de merde. Laisses moi partir toi aussi.
La froideur de ses ongles effleura mon visage, caressant ma joue et se perdant dans mes cheveux. Le drap fut écarté. Je me foutais de ce qu'on pouvait voir. Un pyjama blanc cachait mon corps devenu squelletique par des jours à être nourri par perfusion. Je senti sa caresse sur tout mon corps, il n'éffleurait que mes vêtement mais les plis frottaient doucement ma peau. Ce n'était pas désagréable. Je pensais que c'était mon adieu au monde.
Une inspiration difficile. La prochaine serait la dernière. La main revint alors dans mes cheveux et la voix contre ma peau.
" Pardonnes moi si je ne te laisses plus le choix. "
Surpris. J'avais oublié d'arrêter de respirer. Qu'allait il se passer? Je senti une tension dans l'air et une odeur âcre, j'entendais déglutir, comme si on buvait quelque chose. Des lèvres chaudes se posèrent sur les miennes tandis qu'un pouce appuyait sur mon menton, me manipulant comme une poupée pour me faire ouvrir la bouche. Et alors? J'étais mourrant. Je partais bientôt. Peu m'importais ce corps écrasé sur moi, peu importais ce qu'il allait faire à mon corps dès que je serai mort, je ne serai plus là. Les lèvres pivotèrent alors, dans cette position étrange, imbriquées comme un jeu de cubes. Una langue fouilla ma bouche rapidement, juste le temps de caresser doucement la mienne. Je sentis un soubressaut parcourir l'autre. Tiens la première fois que je le percevais comme une personne entière et pas comme une main et une voix qui se balade. C'était quelqu'un que j'avais au dessus de moi. Un autre soubressaut le secoua et malgrès ma faiblesse je voyais venir quelque chose d'immonde. Ce monde avait voulu m'adresser ses adieux avec son infecte sadicité dégoutante. Je sentis presque le liquide remonter dans la gorge de mon agresseur et envahir sa bouche, grande ouverte sur la mienne. Ca atteignit mes lèvres et je reconnu ce gout métallique. Du sang. Du sang chaud. Un reflexe humain me fit avaler quand ma gorge fut pleine et un autre soubressaut ébranlant le corps au dessus de moi m'indiqua un nouveau flux. C'était tout simplement immonde. Chaque gorgée réveillait mon corps, fesant souffrir le moindre de mes nerfs, et qaund j'eus bu assez pour avoir recouvré un minimum de force des larmes se mirent à couler frénétiquement de mes yeux. On m'avait encore ramené. Je remuais faiblement pour tenter de repousser cette personne. Lorsqu'elle s'en aperçu elle s'écarta et ravala le sang qu'elle allait me donner. Elle m'arracha mes perfusions brutalement, apportant encore plus de douleur à mon corps éprouvé, puis elle me prit dans ses bras et m'emmena. Je su qu'elle avait ouvert la fenêtre en sentant l'air froid de la nuit sur ma peau fiévreuse. Je sentis le basculement de son corps avant qu'elle ne tombe en m'enlaçant étroitement contre elle. Mon esprit retourna dans le noir avant que nous ayons touché le sol.
Et quand je me suis réveillé j'étais sur ce lit. Celui où je suis assis en ce moment. J'avais doucement ouvert les yeux sur un homme de grande taille, élancé, les cheveux courts ébourrifé, les yeux rouges sang et quelques signes noirs et crochus sous les yeux. Il se pencha sur moi avec un sourire pour me caresser le visage. Tout mon corps me fesait atrocement mal. Il entre ouvrit ses lèvres et parla comme il m'avait parlé plus tôt dans la nuit.
" Il faut finir maintenant... "
Il caressait tendrement mes cheveux rouges éparpillés sur l'édredon. Seigneur que j'avais mal. Et tout doucement la voix continuait.
" Tu es en train de mourrir. "
*fait des parts toutes ptites XD*
comme ça c'est pasl ong à lire et je saurais si ça vaut la peine de mettre la suite *__*" à vous de juger