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 Titre : Par : rimudo
mouais te rêve pas trop non plus... la suite quand j'aurais la suite de ma bd ( ceux qui aime cette histoire, sachez que la suite dépend de kyoko... )
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--> ouais la vie est belle !!!!!! <--
soyez gentils svp >_<

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"Je crois au pouvoir du rire et des larmes comme contrepoison de la haine et de la terreur."
Charlie Chaplin.
 Titre : Par : kyoko-kun
MAIIIIIIIIS! mechaaaaaaaaaaaaant! c'est pas juste! c'est pas juste du tout!!!!!! t'a pas le droit de faire pression avec le fofo!!!!!!!!!!!

XO VILAIN!


edit: =_=' he! tu serais pas en train de t'endormire la un peut?!
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=>la revenante du coin detante
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 Titre : Par : rimudo
alors voilà la suite de mon histoire. Plus qu'une partie et c'est finit ( elle est déjà écrite !! ) :


Il fait froid. Un putain de froid même. Je me lève en frissonnant et commence à tourner en rond pour me réchauffer… j’aurais bien une autre technique sinon…
_ Tu veux que je te réchauffe, poupée ?
Je regarde le gars qui vient de parler. Mal rasé, puant, habits déchirés et tout sauf distingué. Non, vraiment, sans façons…
_ T’es sûre ? Chuis un pro à ça.
Désolé mon gars, même si t’avais moins pué et que t’avais eu une paire de seins ça l’aurait pas fait.
_ Lâche-moi Ducon.
Ça n’a pas l’air de lui plaire que je l’appelle comme ça mais il ne dis rien et se contente de râler dans sa barbe.
_ Regarde-toi… Qui voudrais bien se laisser réchauffer par toi ?
La femme qui vient de parler tire sur sa cigarette.
_ Toi la pute je t’ai pas parlé.
_ Tu crois que j’ai des leçons à recevoir d’un clodo ?
Ho non, ils vont pas remettre ça. Ça dure depuis la matinée. J’en ai marre. Je ne peux plus les supporter. Je me dirige vers la porte… enfin, façon de dire.
_ Monsieur l’agent, y a pas une autre cellule, s’il vous plaît. Je vous en supplie.
Le poulet me regarde d’un air narquois.
_ Quand on fait des bêtises faut assumer.
Et il rigole. Je suis sûre qu’il est content de lui ce con. Ça doit lui plaire de me voir enfermée dans un putain de froid pendant que lui ai bien au chaud devant son bureau. Remarque, la prostitué ne dois pas avoir bien chaud non plus, vu qu’elle n’a pratiquement rien dessus. Il n’y a que le clochard qui doit avoir à peu près chaud, mais vu l’état de ses habits je préfère encore me les cailler.


Les cellules de commissariat sont tout sauf confortables. J’ai dut dormir la tête sur les genoux de ma compagne péripatéticienne (remarque, ça ne m’a pas déplu, elle n’est pas vraiment moche). Elle et l’autre con ont dormis assis. Ils doivent être habitués. Moi, je ne le suis pas. Je n’ai jamais rien eu à me reprocher, je n’ai jamais rien fait de mal, sinon voler trois carambars quand j’étais petite. Et je n’ai toujours rien à me reprocher. Je sais que je suis innocente. Et je le prouverais.


Il est encore en face de moi. Je vais commencer par ne plus le supporter. Il me regarde toujours de son air glacial. Heureusement que l’autre petit blond est là pour détendre l’atmosphère. Il rougit tout le temps au nom de « l’inspecteur commencer par ne plus le supporter. Il me regarde toujours de son air glacial. Heureusement que l’autre petit blond est là pour Renié ». Je dois avouer que c’est assez marrant. L’autre reste assis, sans rien dire, sans bouger et ça ne présage rien de bon.
_ Vous n’avez même pas honte.
Je fais l’innocente.
_ Honte de quoi ?
Il me regarde fixement. Le blondinet me fais signe de me taire. Mais je ne me tairais pas.
_ Non, je n’ai pas honte, je n’ai rien à me reprocher. Si vous voulez trouvez des consciences perturbées, allez donc voir du côté du nouveau grand amour d’Amélia.
_ Ça suffit. Je ne vous demande pas votre avis. Sachez que je ne vous laisserez pas vivre tranquille si un innocent se faisait emprisonner à cause de vous.
_ Et si un innocent est emprisonné à cause de vous ?
Le blondinet saute sur sa chaise tellement il est mal à l’aise pour moi et trouve que j’adopte une mauvais attitude.
_ Julien, tenez-vous tranquille !
Le Julien en question ne bouge plus, il est comme paralysé sur sa chaise.
On frappe à la porte. Le grand brun, je ne sais même pas comment il s’appelle, fait signe à son coéquipier d’aller ouvrir. Celui-ci s’exécute et la porte s’ouvre sur l’inspecteur Renié. Rougissement à tous les étages quand ledit inspecteur demande au petit blond de le suivre pour lui parler « en privé ». Mon inspecteur à moi, celui qui a arrêté de me regarder fixement depuis quelques minutes se lève et va voir Julien. Il lui prend brusquement la main, penche sa tête vers lui et lui murmure quelque chose à l’oreille.
_ Oui inspecteur.
Il veut partir mais le grand brun le regarde fixement quelques secondes dans les yeux avant de le laisser s’en aller. Quand il se consent enfin à lui lâcher la main, il revient vers moi. C’est repartit pour un grand moment de galère.


_ Je voudrais appeler quelqu’un.
_ Pourquoi ?
_ Pour me sortir d’ici.
_ Des complices, hein ?
_ Non, juste des amis.
_ Pourquoi voulez-vous les appeler ?
_ Pour leur demander de trouver des preuves qui vous prouverons mon innocence.
_ Ils n’en trouveront pas, car vous êtes aussi coupable que la terre est ronde.
_ Vous êtes sur ?
_ Certain. En attendant, c’est moi qui vais passer un appel.
_ À qui ?
_ Ce sont vos affaires ?
_ Je suis certaine que cet appel va me concerner.
_ En effet. J’appelle le procureur de la république, qui va décider ce qu’il va advenir de vous. Sur ce, je vous prierais de bien vouloir quitter ce bureaux.


Ma cellule est plus confortable que celle du commissariat. Nous sommes trois. Une prostituée (visiblement la justice française n’aime pas ça) et une femme qui visiblement n’en ai pas à son premier vol de voiture. Même si je sais que je suis innocente, il est hors de question que je leur dise. Je leur explique seulement que je suis là pour affaire de meurtre. Elles m’ont dévisagé. Sur que j’ai pas une gueule à faire un meurtre mais bon… elles m’ont crus et je crois que c’est grâce à ça que je ne me suis pas fait bouffer. Bref la prison c’est bien beau, mais on s’en lasse vite. J’essais de demander au bout de combien de temps je serais libre, mais on me répond juste qu’il faut attendre mon jugement… Tssss. Et personne n’est capable de me dire quand exactement va être mon jugement. Dans la cellule, seule notre petite délinquante (1m53) a été jugée. Elle a attendu 5 mois. 5 mois à passer ici ! Et sûrement plus si je suis jugée coupable (ce qui a 99,99 chances sur 100 d’arriver). Bref la vie s’annonce pas très belle. Tout ça parce qu’un matin, je me suis levée quand j’aurais mieux fait de rester couchée. ET que la vie a décidée de me retirer tout ce qu’elle m’avait donnée. Bon, faut vraiment que j’arrête de penser où je vais encore me mettre à déprimer… De toutes façons c’est déjà fait. Je vois mal comment je pourrais aller bien.


J’entend le bruit habituel de la serrure. Cette fois, c’est pour moi. Je me demande ce qui arrive. Est-ce pour mon jugement, ou encore cet inspecteur de mes deux ?
_ Visite.
Je ressent un immense soulagement me parcourir. Je crois que même si j’essaye de le cacher, j’ai l’espoir que ça soit Amélia.


Ça n’est pas Amélia. Mais c’est tout aussi bien. C’est Connie.
_ C’est dur d’arriver à vous voir ici.
_ Connie, tu peux pas savoir comment ça me fait plaisir que tu soit là.
J’ai envie de la serrer dans mes bras mais le verre qui nous sépare me l’empêche. Bon, ben c’est pas tout ça mais j’ai des choses importantes à lui dire. Après avoir discuté un peu, je lui en touche un mot.
_ Connie, faut vraiment que tu m’aide à me faire sortir d’ici.
_ Comment ? Tu veux que je te fasses passer un gâteau avec une lime dedans ?
_ Haha, très drôle. Non, je veux dire me faire sortir d’ici légalement. Si tu fais tout ce que je te dis, tu arriveras à trouver les preuves que je suis innocente.
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"Je crois au pouvoir du rire et des larmes comme contrepoison de la haine et de la terreur."
Charlie Chaplin.
 Titre : Par : kyoko-kun
ouaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa!!!!!!!! c'est trop bien!!!!!!!!!!!!!!!!!!^^
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=>la revenante du coin detante
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 Titre : Par : laura
euhhhhh on c'est toujours pas ce qu'elle avait compris en cherchant ses papier mais aussi non c'est superrr
ce serait envisageable d'avoir des détails sur notre blondinet et les deux inspecteurs hihi^^???
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 Titre : Par : rimudo
=_=' le blondinet est un un inspecteur...

au fait, j'ai une question pour ceux qui lisent l'histoire : sur la demande de kyoko j'ai fait un viol yaoi ( entre qui et qui ??? mystère... ) mais est-ce que ça va choquer si je le met :oops: ?
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 Titre : Par : l'ange déchus
nan vas y je veux la voir^^
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 Titre : Par : kyoko-kun
lol tu vois ça plais^^
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 Titre : Par : rimudo
J’ai peur. J’ai vraiment peur. La même peur que quand on est dans les coulisse de la scène et qu’on entend les spectateurs s’installer, le noir se faire et la pièce commencer. Je sens la transpiration sur mon front. Mon estomac se noue et je serais incapable d’avaler la moindre chose. J’ai peur. Tout le monde me regarde, les policiers sont trop brusques, les menottes me scient les poings. Dans la salle, tout le monde se tourne vers moi. Le juge me regarde. L’inspecteur me fixe froidement. Je sens qu’il a envie de sourire, que ça lui plait de me voir là, dans cette situation, qu’il jubile. Oui, il jubile cette espèce de crapule. Le blondinet me fais des signes de bonne chance. Heureusement qu’il est là. Mais il ne fais pas diminuer la peur qui me ronge. Et puis, je vois mon avocat. Connie qui me sourit. Et… ELLE est là. Elle me fixe elle aussi. Je baisse les yeux, je rougis, j’ai honte… J’ai peur.


Le procès commence. Je ne me sens pas bien du tout. Je ne vais pas réussir à rester consciente. Je sens que c’est au dessus de mes forces. Je suis dans un état proche de la transe. Je n’entend rien, je ne comprend rien. Des voix c’est tout. Puis mon avocat qui me pousse du coude.
_ Qu’avez vous à dire pour votre défense ?
Je me réveille brusquement.
_ Que je suis innocente et que j’ai toutes les preuves.
Puis je me « rendors » . Je ne me souviens pas de la suite. Je ne l’ai pas entendue. Je n’ai pas cherchée à l’entendre. Tout ce dont je me souviens, c’est la prise de parole de mon avocat, brillante, je dois l’admettre :
_ Ma cliente ici présente a été la victime d’une horrible machination. Machination qui n’a put sortir que d’une seule personne. Tout d’abord, je vais vous révéler quelque chose que tout le monde a tut. Si l’on connaît la liaison qui unit Mademoiselle Amélia Refet et Monsieur Yvan Karl , personne n’a encore parlé de celle, plus forte, qui unit Mademoiselle Amélia Refet et Mademoiselle Maria Maxime. J’ai des témoin pour prouver ce dire.
Je me souviens de Connie allant à la barre, puis de la meilleure amie d’Amélia allant à la barre pour confirmer.
_ Bien. Pour reprendre, je pense donc que Monsieur Yvan connaissant cette liaison qui détruisait ses espoirs de vivre avec Mademoiselle Refet, il a décidé de prendre un énorme risque. Il a donc volé la carte d’identité de Mademoiselle Maxime. Celle ci a donc été faire une déclaration de vol, elle aussi volée.
_ Et pour quoi faire, je vous pris ? Demanda l’autre avocat.
_ Attendez que j’ai finis mon raisonnement. Nous avons trouvé chez Monsieur Karl des photos d’une de ses amies, ressemblant énormément à ma cliente. Ainsi, avec une carte d’identité dont il est impossible de déclarer qu’elle a été volée, l’amie de Monsieur Karl a été engager au nom de ma cliente le tueur à gage. En lui disant explicitement de ne pas la tuer, mais de cacher qu’il lui avait passé cette « commande »… Et elle lui demanda aussi autre chose : de dire à Mademoiselle Amélia qui l’avait engagé : soit Mademoiselle Maxime, puisqu’elle l’avait engagée sous ce nom. Vous savez à présent tout. Je tiens à dire que les photos, la carte d’identité et la déclaration de vol ont été trouvées par la police chez Monsieur Karl.
Je me souviens en suite qu’on m’a fait me lever avec ladite amie pour aller devant le tueur à gage, qui la reconnut comme sa cliente, après un long moment de réflexion. Mais il est vrai que elle me ressemblait… J’avais l’impression de voir un clone de moi. Elle avait juste les joues un plus rondes et les cheveux différents, mais il est vrai qu’une personne ne nous ayant vue qu’une seule fois dans sa vie aurait facilement put nous confondre. Et c’est d’ailleurs ce qui c’était passé.
Je me souviens de cette phrase, cette phrase bénite : non coupable ! Non coupable ! C’était ce dont je rêvais le plus. Il y avait encore une justice dans ce monde. Un tout petit brin de justice.
Je me souviens aussi en sortant le regard chargé de haine de l’inspecteur, le regard mal à l’aise d’Amélia et le regard haineux de l’imbécile, qui venait de se faire découvrir. Il avait essayé de me faire porter sur le dos une accusation qui n’était pas la mienne, de détruire ma vie, de me séparer de ma Amélia…


bon bah voila... le viol au prochain et dernier épisode !
par contre vous n'aurez que la version soft...
*se fait étrangler pas kyoko*
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"Je crois au pouvoir du rire et des larmes comme contrepoison de la haine et de la terreur."
Charlie Chaplin.
 Titre : Par : kyoko-kun
héééééééééééééééééééééééééééééé! nan!!!! moi je veux le viol maintenant!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! :evil:
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 Titre : Par : laura
merci de mettre la version soft^^
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 Titre : Par : kyoko-kun
T-T bouh laura est si pure!!!!!!!!! moi je veux la vrais vertion par mp!!!!!
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=>la revenante du coin detante
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 Titre : Par : laura
et beh euh la suiteuhh vs ete ts en grève ou quoi???
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 Titre : Par : l'ange déchus
moi aussi je veux la suite

pourquoi vous êtes pas la,grouiller vous >.<
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 Titre : Par : laura
je devient folle je vient tt les jours voir si ya la suite a mon grand désespoir elle y est toujours pas vais devenir folle ( même si c'est déja fait^^")
s'il vous plait mettez la suite avant que je jette mon corps ^^
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 Titre : Par : kyoko-kun
o_O WAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAa!!!! riri met la suite!!!!!! T-T ma nee-san de yaoi veut devenir folle!!!!!!!! bouuuuuuh! la suite la suite!!!!
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=>la revenante du coin detante
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 Titre : Par : rimudo
héhé vous savez quoi ? vous allez rire mais j'avais totalement zappé que j'avais fait cette histoire !
*big regards noirs sur riri*
Bon ben voilà la dernière partie, avec le viol yaoi !


Je suis sur le lit. Amélia est assise sur la chaise. Elle baisse les yeux et elle est rouge. Elle n’ose pas me regarder en face, et moi non plus. Ça dure un bout de temps ainsi. Puis, enfin, elle parle.
_ Je suis désolée.
Un « je suis désolée » bégayant, pas très assuré.
_ Je… j’ai agit comme une conne… comment j’ai put croire que tu m’avais fait ça ? Et comment il a put me faire ça, lui ! Je… c’est étrange, c’est…
Elle n’a pas besoin d’en dire plus. Je la prend dans mes bras. Je vais pouvoir reprendre ma vie normale. La reprendre là où je l’ai laissée.

En fait, je crois qu’on peut dire que tout est bien qui finit bien. Yvan Karl a été condamné à 4 ans fermes, ce qui signifie qu’il va passer 2 ans en prison. Il n’a eu que ce qu’il mérite. Sa complice aussi, mais elle, je ne sais pas pour combien elle en a pris.

Dans les bonnes nouvelles, mon inspecteur va bientôt se faire juger. À cause de moi. Où plutôt grâce à moi. Alors que je sortais du commissariat pour des affaires à régler, j’ai voulu aller au toilettes. Sauf que le commissariat étant grand, les toilettes étant loin et moi un peu cruche, je n’ai put faire autrement que me perdre. Et d’ouvrir grand une porte que je n’aurais pas dût ouvrir. Et de tomber sur un spectacle dont je me serais bien passé. Au début, je suis restée plantée de stupéfaction, puis en suite j’ai assisté à la scène sans rien oser dire. Mon inspecteur prenait entre ses mains la tête du crétin, l‘amant d’Amélia, qui se dégagea.
_ Reste ici, ordonna-t-il.
_ Non, sanglota le crétin, qui me faisait vraiment pitié.
_ Reste ici !
Cette fois ci, c’était plus qu’un ordre. Yvan resta sur place. L’inspecteur lui donna une gifle monumentale.
_ Pourquoi tu fais ça ? Sanglota le crétin.
_ Parce que.
Et l’inspecteur de prendre de nouveau la tête de mon rival dans ses mains et de l’embrasser. Puis de passer sa main dans son pantalon. L’imbécile essaya tant bien que mal de se dégager, mais l’autre étant mieux bâtit et plus grand, il le plaqua contre le mur et l’empêcha de bouger. Puis il recommença son exploration dans le pantalon, toujours en embrassant fiévreusement sa pauvre victime. Puis il entra sa main dans son caleçon et commença, vu les gestes qu’il faisait, à le branler. L’autre poussa un gémissement (impossible de savoir si c’était de peur, de douleur ou de plaisir). Mais l’inspecteur ne s’arrêta pas là. Il descendit sa bouche, baissa pantalon et caleçon du blondinet et pris dans sa bouche tout ce qu’il y avait à prendre à cet endroit. Je sentit un frisson me parcourir. Quand il eut finit de jouer avec sa sucette et l’eu lécher maintes fois, il remonta s’attaquer à la bouche du crétin. D’un geste brusque, il lui fit descendre la tête au niveau de son pantalon, l’ouvris et lui fit sucer. Puis quand il eut finit et qu’il eu jouit, il le releva, le retourna et commença à enfoncer son sexe dans l’anus de mon rival, qui pleurer presque. Quand il eu finit de le sodomiser, il le repoussa, l’embrassa encore puis le laissa partir.

Voilà pour ce qui est des dernières nouvelles.

Mais tout n’est pas finit pour reprendre ma vie normale. Il me reste une dernière étape. Sachez que je n’ai jamais cru en Dieu. Mais quand on a quelque chose de lourd sur le cœur et qu’on ne peut se confier aux personnes qui nous sont proches, les choix se limitent à un psy, ce que je refuse, ou à un confessionnal : j’ai choisit cette option. J’ai fait quelque chose d’horrible. De plus horrible encore que ce que m’a fait Karl…
L’église est grande. J’entre sans trop savoir que faire. Sans trop savoir comment, je me retrouve sur un banc, face à un grillage où je sais qu’un curé m’écoute.
_ Allons, parler mon enfant, qu’avez vous sur le cœur ?
_ Une grave histoire.
_ Ha ?
_ Tout d’abord, je veux me confesser de ce que vous considérer comme un pêché : je suis homosexuelle.
_ … (silence radio)
_ Et mon amie le trompait avec un homme. Je le savais et ça ne me dérangeais pas car je savais que si elle sentait une attirance trop forte pour lui, elle romprait. Mais elle est arrivée à un stade où elle c’est trop attaché à son amant et n’a put rompre. Je dois avouer que j’ai été jalouse…
_ … (toujours silence radio)
_ Alors j’ai engagé un tueur à gage.
_ Pour tuer son amant ?
_ Non, pour elle.
_ Mais…
_ Laissez moi finir, après vous me jugerez et parlerez. Car le pire reste à venir. J’ai fait semblant de perdre ma carte d’identité et la déclaration de perte, je l’ai aient cachées dans la commode de son amant, dans les affaires d’étés, là où les policiers les trouveraient mais là où lui ne les verraient pas avant longtemps. Je me suis également déguisée en une amie à lui qui me ressemblait. J’ai mis du coton dans mes joues et j’ai été chez le coiffeur pour arranger mes cheveux de façons à ce qu’ils se ressemblent. Et ainsi, après avoir été accusée, j’ai fait croire à tout le monde que j’avais été victime d’une manipulation et il a été accusé. Il est en ce moment même en prison. Là où je suis sûre qu’il ne s’opposera pas à moi et à Amélia.


et voilà, c'est la fin !!
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 Titre : Par : laura
0_o beh sa y et je suis devenu folle j'ai failli faire un arret devant cette suite

quelle chute et beh dis donc je m'y attendé pas le povre gars nn seulement il est en prison mais il s'est fait violer o fait c'est lequel d'inspecteur, je sais que c'est pas le petit blond c'est le ténébreux ou l'autre qui a débarquer et pris le blond par le bras je sais plus trop ce qui c'était passer
alors c'était lequel?

aussi non fachement bien ^^
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 Titre : Par : rimudo
rha merci laura enfin quelqu'un qui trouve que ma suite est innatendue *big regard noir vers kyoko* et sinon l'inspecteur violeur c'est le grand ténébreux
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 Titre : Par : kyoko-kun
=_= meuuuuuuuuuuuuuuh! moi n'aime bien cette suite.......mais a la base j'avais demandé que l'inspecteur viole le cretin mais ai quand même une relation avec le blondinet! (tt le monde s'en fou? ok... :arrow: )

*o* je le relis et j'adore encoreeeeeeuh! =q= c'est trop booooo!
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 Titre : Par : laura
et beh euhh je voulé pa ke ce soit luiiiii
ils étaient tout mimi le ténébreux et le blondinet pk allé voir ailleurs alors qu'on a un magnifike petit blond sous la dent aucune logique ^^
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 Titre : Par : rimudo
rhaaa laura tu fait exprès ou quoi ? leur relation est floue exprès pour laisser imaginer certaines choses à des fans de yaois qui en voit partout !
pfff, bien la peine de se décarcasser tiens...
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 Titre : Par : laura
m'en fout il a de sale gout le ténébreux moi j'aurais violé le blondinet ^^

YAOI POWAAA ( spéciale message pr ma sista dy yaoi ^^")
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 Titre : Par : rimudo
qui te dit qu'il ne l'a pas déjà violé ? à ton avis, pourquoi le blondinet le regarde avec autant de peur ? ( aucune imagination c'est fou...)
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 Titre : Par : laura
O_o j'ai du rater quelque chose parce que je ne me rapel pas que le blondinet avait peur du ténébreux ^^"
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