héhé vous savez quoi ? vous allez rire mais j'avais totalement zappé que j'avais fait cette histoire !
*big regards noirs sur riri*
Bon ben voilà la dernière partie, avec le viol yaoi !
Je suis sur le lit. Amélia est assise sur la chaise. Elle baisse les yeux et elle est rouge. Elle n’ose pas me regarder en face, et moi non plus. Ça dure un bout de temps ainsi. Puis, enfin, elle parle.
_ Je suis désolée.
Un « je suis désolée » bégayant, pas très assuré.
_ Je… j’ai agit comme une conne… comment j’ai put croire que tu m’avais fait ça ? Et comment il a put me faire ça, lui ! Je… c’est étrange, c’est…
Elle n’a pas besoin d’en dire plus. Je la prend dans mes bras. Je vais pouvoir reprendre ma vie normale. La reprendre là où je l’ai laissée.
En fait, je crois qu’on peut dire que tout est bien qui finit bien. Yvan Karl a été condamné à 4 ans fermes, ce qui signifie qu’il va passer 2 ans en prison. Il n’a eu que ce qu’il mérite. Sa complice aussi, mais elle, je ne sais pas pour combien elle en a pris.
Dans les bonnes nouvelles, mon inspecteur va bientôt se faire juger. À cause de moi. Où plutôt grâce à moi. Alors que je sortais du commissariat pour des affaires à régler, j’ai voulu aller au toilettes. Sauf que le commissariat étant grand, les toilettes étant loin et moi un peu cruche, je n’ai put faire autrement que me perdre. Et d’ouvrir grand une porte que je n’aurais pas dût ouvrir. Et de tomber sur un spectacle dont je me serais bien passé. Au début, je suis restée plantée de stupéfaction, puis en suite j’ai assisté à la scène sans rien oser dire. Mon inspecteur prenait entre ses mains la tête du crétin, l‘amant d’Amélia, qui se dégagea.
_ Reste ici, ordonna-t-il.
_ Non, sanglota le crétin, qui me faisait vraiment pitié.
_ Reste ici !
Cette fois ci, c’était plus qu’un ordre. Yvan resta sur place. L’inspecteur lui donna une gifle monumentale.
_ Pourquoi tu fais ça ? Sanglota le crétin.
_ Parce que.
Et l’inspecteur de prendre de nouveau la tête de mon rival dans ses mains et de l’embrasser. Puis de passer sa main dans son pantalon. L’imbécile essaya tant bien que mal de se dégager, mais l’autre étant mieux bâtit et plus grand, il le plaqua contre le mur et l’empêcha de bouger. Puis il recommença son exploration dans le pantalon, toujours en embrassant fiévreusement sa pauvre victime. Puis il entra sa main dans son caleçon et commença, vu les gestes qu’il faisait, à le branler. L’autre poussa un gémissement (impossible de savoir si c’était de peur, de douleur ou de plaisir). Mais l’inspecteur ne s’arrêta pas là. Il descendit sa bouche, baissa pantalon et caleçon du blondinet et pris dans sa bouche tout ce qu’il y avait à prendre à cet endroit. Je sentit un frisson me parcourir. Quand il eut finit de jouer avec sa sucette et l’eu lécher maintes fois, il remonta s’attaquer à la bouche du crétin. D’un geste brusque, il lui fit descendre la tête au niveau de son pantalon, l’ouvris et lui fit sucer. Puis quand il eut finit et qu’il eu jouit, il le releva, le retourna et commença à enfoncer son sexe dans l’anus de mon rival, qui pleurer presque. Quand il eu finit de le sodomiser, il le repoussa, l’embrassa encore puis le laissa partir.
Voilà pour ce qui est des dernières nouvelles.
Mais tout n’est pas finit pour reprendre ma vie normale. Il me reste une dernière étape. Sachez que je n’ai jamais cru en Dieu. Mais quand on a quelque chose de lourd sur le cœur et qu’on ne peut se confier aux personnes qui nous sont proches, les choix se limitent à un psy, ce que je refuse, ou à un confessionnal : j’ai choisit cette option. J’ai fait quelque chose d’horrible. De plus horrible encore que ce que m’a fait Karl…
L’église est grande. J’entre sans trop savoir que faire. Sans trop savoir comment, je me retrouve sur un banc, face à un grillage où je sais qu’un curé m’écoute.
_ Allons, parler mon enfant, qu’avez vous sur le cœur ?
_ Une grave histoire.
_ Ha ?
_ Tout d’abord, je veux me confesser de ce que vous considérer comme un pêché : je suis homosexuelle.
_ … (silence radio)
_ Et mon amie le trompait avec un homme. Je le savais et ça ne me dérangeais pas car je savais que si elle sentait une attirance trop forte pour lui, elle romprait. Mais elle est arrivée à un stade où elle c’est trop attaché à son amant et n’a put rompre. Je dois avouer que j’ai été jalouse…
_ … (toujours silence radio)
_ Alors j’ai engagé un tueur à gage.
_ Pour tuer son amant ?
_ Non, pour elle.
_ Mais…
_ Laissez moi finir, après vous me jugerez et parlerez. Car le pire reste à venir. J’ai fait semblant de perdre ma carte d’identité et la déclaration de perte, je l’ai aient cachées dans la commode de son amant, dans les affaires d’étés, là où les policiers les trouveraient mais là où lui ne les verraient pas avant longtemps. Je me suis également déguisée en une amie à lui qui me ressemblait. J’ai mis du coton dans mes joues et j’ai été chez le coiffeur pour arranger mes cheveux de façons à ce qu’ils se ressemblent. Et ainsi, après avoir été accusée, j’ai fait croire à tout le monde que j’avais été victime d’une manipulation et il a été accusé. Il est en ce moment même en prison. Là où je suis sûre qu’il ne s’opposera pas à moi et à Amélia.
et voilà, c'est la fin !!
--> ouais la vie est belle !!!!!! <--
soyez gentils svp >_<
"Je crois au pouvoir du rire et des larmes comme contrepoison de la haine et de la terreur."
Charlie Chaplin.